Coucou à tous !
Ca faisait longtemps, mais ne vous inquiètez pas... me revoilà, plus en forme que jamais !!! ah ah ah !
Alors qu'en pensez vous de cet album ? Tout le monde l'a trouvé dans les bac c'est bon ???? et le clip hein !!! pas mal non ???
Moi, mercedes sait ce que j'en pense du nouvel album et du clip et puis vous ça ne vous interresse pas de savoir hein !?!?
Et donc vous en ce moment vous écoutez quoi ?
J'ai écouté le nouvel album de Zazie, que je trouve assez sympa, bon rythme, belle petite voix, paroles rigolotes, aime bien Moi Zazie.
Bon ca c'était pour la chanson française.
Côté internationale, j'ai découvert Aaron, vous connaissez ?? D'ailleurs si quelqu'un connait, pourrait-il/elle me dire à quelle voix sa voix ressemble. Je pensais à celle de Sting (quand il faisait partie de Police... bah oui il n'a pas la même voix depuis qu'il chante tout seul je trouve
)
Et côté autre que musique mais bon on ne séloigne pas trop non plus, quelqu'un a t-il vu "Blanc"* La musique (de Maëva je ne sais plus comment et Joachim quelque chose) est splendide. Petit solo de violoncelle avec une musique légèrement lounge... ouawouuuuuuu terrible. D'ailleurs si quelqu'un sait où on peut trouver la BO de la pièce de théatre.
Le petit astérix dans le paragraphe ci dessus veut dire qu'il faut se référer a l'astérix qui est là : * alors il ne faut pas lire les résumés qui sont dans la presse ou sur les sites car ils sont nuls (exemple : Toutes les mères meurent, celle-là aussi. Bizarrement ce n'est pas triste... c'est comme ça. Pendant ce temps, les soeurs se parlent, les cigarettes se roulent, les religieuses au chocolat se mangent, et il est hors de question d'appeler un prêtre !). Mon résumé et je pense un peu plus alléchant : Ce sont deux soeurs (Isabelle Carré et Léa Drucker) qui se retrouvent dans la maison où elles ont grandi, au chevet de leur mère qui est mourante. Elle se remémore un tas de souvenirs, se redécouvrent et se découvrent. Tout ceci accompagnée du sublime musique de Maëva Le Berre et Joachim Mazeau (ca y est j'ai retrouvé les noms) et d'une mise en scène magique, magnifique (la plus belle mise en scène que j'ai vu au théatre) de Zabou Breitman (pardon Zabou si j'écorche l'orthographe de ton nom).
Et voilà un autre résumé que j'ai trouvé qui explique un peu tout ce que je viens de vous écrire (mais mieux écris, bah oui je ne suis pas écrivain moi... pfff !!!c'est même Zabou qui l'a écrit. Mais non Zabou n'a pas écrit que je n'étais pas écrivain, elle a écrit le résumé qui suit. Bon je sais j'en écris une tartine mais essayez de suivre et de vous concentrez) : Le trouble du moment se camoufle dans l’anodin des petites choses de la vie. C’est dans la cuisine que l’on parlera de la mort. Mais le drame est déguisé en papier à cigarette, en histoires d’amour, en querelles anciennes.
« Blanc » est à la fois banale et singulière comme la fin d’une vie qui reste toujours un effarement, le sentiment vague d’une scandaleuse escroquerie. C’est le mélange, ou plutôt la bascule entre ce que l’on voit et ce qui se cache derrière la porte qui m’a tellement bouleversée. C’est ce qui me guide : essayer de rendre compte de la confusion et du quotidien englués dans un temps qui échappe.
C’est l’aspect extra-ordinaire de la pièce d’Emmanuelle Marie.
Dans ce désordre en marche, les deux sœurs attendent la mort de leur mère en se raccrochant éperdument au buffet, aux tiroirs, à l’épluche légumes, au thé, aux cigarettes que l’on roule, aux draps propres ou souillés, au chien qui pisse sur la cabine du téléphone, aux constellations qui portent un nom, quand elles-mêmes ne s’appellent que l’Aînée et la Cadette.
J’ai eu envie de me promener dans l’étrangeté du moment, mais en laissant la vie à sa place parfois toute faite, parce que c’est comme ça, parce que les automatismes la peuple, et que nous serions nus et perdus sans eux.
Comme nous serions perdus dans « Blanc » si l’obscur gagnait la bataille.
Vous en souhaitant bonne lecture.
Gros bisous à tous et à toutes !!!
Lilou
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